Animé avec passion et enthousiasme par Reinerg Salocin,
le blogue est l’endroit idéal pour décompresser.

Humour, humeur, actualité, surprises, sujets chocs, voici quelques éléments
qui vous seront offerts régulièrement.

Les Éditions du Clown Vampire a décidé d’offrir cet espace à l’auteur Nicolas Grenier,
mais il n’est pas dit que sa plume électronique ne sera pas transmise à d’autres auteurs
et blogueurs à l’occasion. Cet espace est aussi un lieu de discussion avec les Internautes.

Si vous avez des sujets que vous voulez que l’auteur aborde, dites-le nous

 

11 Feb 2014

Bonjour à tous et à toutes

C’est avec un immense plaisir que vous lisez ce premier blogue, hébergé par les Éditions du Clown Vampire, une jeune maison d’édition numérique, qui vous réserve plein de belles surprises au cours des prochains mois et des prochaines années. Bon, assez de publicité gratuite, passons aux choses sérieuses !

 Principalement, le blogueur en chef sera Reinerg Salocin qui se fera un plaisir immense de commenter l’actualité et d’apporter le « lead » en termes de sujets qui touchent Monsieur et Madame (en prenant soin d’y inclure aussi Mademoiselle même si ce n’est plus d’usage…). Il apportera aussi sa poignée de sucre et sa pincée de sel pour bien nuancer ses rédactions. À ses côtés, vous retrouverez régulièrement, deux fidèles collaborateurs : clownblogueur, un blogueur drôle et pince-sans-rire ainsi que vampireblogueur, un blogueur plus mordant, croquant, à la limite acerbe. Ces deux hurluberlus se feront un plaisir gigantesque d’utiliser leur arme de prédilection : leur plume électronique. J’espère que vous aimerez leurs propos et que vous les adopterez rapidement. Restez sur votre appétit, car d’autres collaborateurs viendront se greffer à notre trio. Le meilleur moyen de rester à l’affût de ce qui se passe dans le merveilleux monde du commentaire électronique est de nous suivre régulièrement !

De plus, il y aura des thèmes abordés, dits non récurrents, à savoir des textes inattendus qui viendront se greffer à ceux traitant d’actualité et de sujets sociaux. On aurait bien aimé les rendre invisibles au radar, mais un membre de l’équipe a fortement demandé qu’on en fasse mention : les surprises. Ces dernières seront dévoilées au fur et à mesure.

Sans oublier ce qui est le plus important : vous, chers lecteurs et chères lectrices. Vous pourrez réagir à nos sujets et nous en proposer d’autres. Votre implication est d’une grande importance dans la réussite du blogue et nous vous invitons cordialement à venir nous donner votre point de vue, votre pouls. Nous espérons vous compter parmi nos lecteurs et lectrices assidus. Nous vous donnons rendez-vous avec notre premier sujet : Est-ce que notre système hospitalier est en perte de vitesse ? Comme vous l’avez remarqué, voici une thématique sociale et vous en trouverez d’autres au fil du temps.

Note à Annie Pellerin - la personne qui a monté mon site Internet et fait la couverture graphique des mes oeuvres : Annie, je ne sais pas si tu vas lire ce billet ou si tu l’as déjà lu, mais je tiens à te remercier pour ton implication et ta collaboration. Je n’ai sûrement pas été un client très facile avec mes nombreuses et interminables questions, sans compter les doutes que j’ai eu au cours des huit derniers mois. J’ai découvert une personne passionnée par son travail et pour toujours à l'écoute de tes clients. Annie, ne change pas et je te souhaite plein de beaux contrats, plein de défis.

CATALOGUE
NOM ET PRÉNOM

CATÉGORIE DU LIVRE
NEZ-DE-CLOWN - 9-15 ANS
27 novembre 2013
Quand la folie tourne à l’horreur

Ur? Erro occum, simusciis samus as int enda se plaborrovit est latiur sintionseque pa dis evelectat ut faceaquia sendit, ad etur rerspidus alic tem et venimin velitem porepudae sitibus cillend ignistia quatio doles volupta corem estotat ibeatem verciurem ut quid que arum sit prem rersper natemqui dem arum experundis dic totate ped magnatis simo od molorum ut fugitas pitam, si veliquidis int ma vollaudis aut as minimus, vellabo. Cum endebitate milictiis inimporrum dic tem fugiaecest ut fugit, cor maionse quaspit labo. Ut la pro